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Formation et études pour devenir psychothérapeute
Le titre de psychothérapeute n’est pas règlementé, mais ce n’est pas pour autant que ceux le portant n’ont pas de diplôme ni suivi une formation spécifique. Pour pouvoir proposer des séances de psychothérapie, comme la gestion de la colère, il est nécessaire d’avoir un diplôme de niveau doctorat qui donne le droit d’exercer la médecine ou encore un diplôme de niveau master, dont la mention ou la spécialité est la psychologie ou la psychanalyse. Dans tous les cas, il est nécessaire d’avoir au minimum un BAC+5 dans le domaine de la santé ou de la santé mentale pour pouvoir exercer légalement en tant que psychothérapeute.
La profession de psychothérapeute se base principalement sur l’écoute et l’instauration d’une relation de confiance avec la patientèle. En parallèle, le praticien devra également avoir un excellent équilibre personnel afin de ne pas se laisser « déborder » lors de ses séances de gestion de la colère – avoir fait une thérapie personnelle approfondie. Le métier exige également une grande connaissance de la société ainsi que de l’activité – compréhension du monde.
Le champ d’intervention d’un psychothérapeute
La colère peut découler de diverses pensées et émotions négatives (anxiété, frustration, tristesse, mal-être…). C’est un sentiment primaire que l’on retrouve chez tout le monde, les enfants comme les adultes sans distinction d’âge ni de sexe – dans le règne animal. Le psychothérapeute prend alors en charge les personnes présentant un problème pour extérioriser leurs émotions et exprimer leur colère, entre autres, lors d’une thérapie individuelle ou collective – il existe en effet des approches similaires à celle des alcooliques anonymes pour les personnes colériques consistant à les mettre ensemble pour discuter de leurs phobies, problèmes affectifs et d’autres éléments liés aux émotions.
Lorsqu’un patient consulte pour la première fois un psychothérapeute en vue d’améliorer son contrôle émotionnel pour gérer ses crises de colère, exprimer sa frustration, faire ressortir ses émotions enfouies et autre, le praticien procède à une évaluation complète. Lors de cette première séance, il n’est pas rare qu’il craigne d’être jugé ou même exposé à des conséquences légales s’il discute ouvertement de ses accès de colère, entre autres. Il est alors difficile d’avoir des informations vraiment fiables à ce sujet. Ainsi, il est primordial d’établir un lien thérapeutique pour qu’il se sente respecté et ne craigne pas le jugement du psychothérapeute.
Le psychothérapeute veille à ce que son patient entre dans une phase de relaxation et de méditation pour faire ressortir son intelligence émotionnelle et pour qu’il puisse mieux relater son ressenti. La séance se passe ainsi dans un cadre bienveillant et constructif, avec une lumière tamisée propice à la détente et un environnement calme. En fonction du praticien, le patient peut s’allonger dans un canapé ou se blottir dans un fauteuil. L’évaluation explore plusieurs éléments, tels que les déclencheurs internes ou externes, les émotions négatives, les pensées négatives, les comportements agressifs (ton de voix, propos, gestes, violence envers les personnes et les objets…), et les conséquences des accès de colère. Le psychothérapeute documente alors la fréquence (colère chaude – épisodique), la durée (colère froide – plus durable) ainsi que la sévérité des épisodes, tout en évaluant les possibles consommations de substances pouvant augmenter la tension ou entraîner une désinhibition, ce qui favoriserait les comportements agressifs.
Plusieurs approches peuvent être utilisées par le psychothérapeute dans le cadre de la gestion de la colère : TCC (traitement cognitivo-comportemental), hypnose, coaching, cohérence cardiaque, respirations profondes, sophrologie, pleine conscience, gestion émotionnelle, affirmation de soi (amélioration de l’habileté), estime de soi, conscience de soi, technique zen, travail se rapportant à autrui, émotion verbale, etc.
Pourquoi faire appel à un psychothérapeute ?
Être en colère, ce n’est pas mauvais en soi, mais lorsqu’exprimer sa colère par de l’agressivité ou une autre réaction négative devient une habitude, cela n’est pas bon, autant pour la personne colérique que son entourage. La santé mentale s’en retrouve bousculer et il n’est plus possible de désamorcer la bombe à retardement. On dit souvent qu’il est important de faire ressortir sa colère, mais ce que l’on ne dit pas, c’est comment le faire correctement. On peut bien se défouler en criant de toutes ses forces, en balançant des objets prévus à cet effet ici et là, mais au final, il s’agit là d’une forme d’agressivité dite passive – c’est-à-dire que lorsqu’on ne pourra pas faire ces gestes pour une quelconque raison, la colère pourrait prendre davantage d’ampleur et entraîner une nouvelle forme d’énervement : la rage. Pleurer pour évacuer sa colère peut aussi être une bonne idée, mais cela ne résoudra pas le fond du problème pour autant. Canaliser la colère est difficile pour de nombreuses personnes n’arrivant pas à verbaliser leurs émotions, à lâcher-prise, à s’ouvrir aux autres et bien d’autres encore : trouble affectif, problème anxieux héréditaire, culpabilité, égocentrisme, phobie…
Pour apprendre à contrôler sa colère, à évacuer ses émotions négatives, à extérioriser ses émotions ou encore à exprimer sa frustration et à se défaire de son stress chronique, il est alors recommandé de se tourner vers un psychothérapeute qui trouvera la solution adaptée pour faire retrouver une bonne santé mentale. Faire face à de multiples émotions parfois contradictoires (émotions difficiles) lors d’un épisode de colère peut s’avérer par ailleurs dangereux et seul un professionnel peut aider à déployer les bonnes ressources émotionnelles pour se prémunir des effets négatifs de cette colère.
Comment trouver un psychothérapeute ?
Si l’on fait face à des problèmes de colère, on peut facilement trouver un psychothérapeute en passant par un annuaire comme StarOfService. Il suffit de suivre les instructions à l’écran pour entrer en contact avec plusieurs praticiens et déterminer vers lequel se tourner pour des séances de gestion de la colère.
Les tarifs d’un psychothérapeute
Se faire accompagner par un psychothérapeute dans le cadre d’un processus de gestion de la colère à un coût variable en fonction des options choisies. Pour une psychothérapie individuelle, le coût est situé entre 40 € et 100 € par séance en moyenne tandis que si l’on souhaite apprendre à se maîtriser, à comprendre ses émotions et ainsi mieux gérer sa colère en groupe, les séances sont comprises entre 50 € et 60 € pour une durée de 1 h 30.
Comment bien choisir un psychothérapeute ?
En premier lieu, il faut s’assurer que le psychothérapeute que l’on est sur le point de consulter est compétent et qu’il dispose du bagage théorique et pratique nécessaire pour faire avancer. Si au cours des premières séances de gestion de la colère, on n’a l’impression de ne pas progresser ou qu’au contraire, on se met en colère beaucoup plus facilement ou on montre un signe de dégoût inconscient, il est préférable de changer. Le fait est qu’une bonne écoute n’est pas toujours suffisante pour un praticien. Les amis peuvent bien être d’une très bonne oreille, mais le psychologue doit faire avancer.
Ensuite, il ne faut pas uniquement se focaliser sur un praticien en particulier après avoir vu son parcours et sa méthode de travail. Il reste préférable de discuter avec plusieurs psychothérapeutes en leur exposant brièvement la problématique (pas de contrôle des émotions lors d’un épisode de colère, excès de colère rapide, violente réaction après un débordement émotionnel…) et en tentant de connaître leur manière d’opérer – modus operandi. On choisira ensuite le psychothérapeute avec qui on se sent le plus à l’aise. Et si malgré toutes ces précautions, un inconfort se fait ressentir lors des rencontres, il faut le manifester pour voir où cela peut-il clocher, entre autres.
Questions à poser à un psychothérapeute lors du premier contact
- Quels sont les honoraires pour les séances ?
- Combien de temps dure une rencontre ?
- À quelle fréquence devrai-je consulter ?
- Les séances individuelles sont-elles confidentielles ?